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Je vais essayé de vous raconter le plus fidèlement possible, cette histoire ,qui s'est déroulé au mois d'août..
Mon mari Paul, tient a ce que je la narre moi même, avec mes mots et mon ressenti.
Bien sur, les dialogues sont au plus près de la réalité.
Soyez indulgent, même si Paul dit que cela reflète bien la réalité des choses.
J'ai 59 ans, mais on me donne souvent la cinquantaine, malgré mes kilos en trop, presque femme fontaine plus jeune.
Depuis une dizaine d'année Paul, n'a qu'un obsession, me voir faire l'amour avec un autre homme devant lui. Son fantasme le plus fou, que je fasse un gang bang avec une dizaine d'hommes.
Une seule réponse, NON, toujours NON.
Au fil du temps, il est arrivé a me faire cédé sur plusieurs points.
En vacances ou quand on part en week-end, je suis toujours sans culotte, ni soutif, jupe et robe courte, à très courte, haut transparent, short ultra court et moulant, il adore m'exhiber ainsi.
J'ai eu du mal au début, maintenant avec l'habitude, j'y prend presque du plaisir.
Puis, se gros perverse, ma fait sortir avec un plug anal, de plus en plus gros.
De plus, il prend son pied quand ma chatte est très élargi et profonde.
Pour ça, il me travail avec des godes, aujourd'hui énormes, gonflant ou pas. Concombre, courgette sont monnaie courante dans mon vagin.
Le mardi 4 août, en vacances aux sables d'olonne, j'étais habillé d'une robe en jean très courte,avec une grande fermeture éclair devant de bas en haut, ouvert largement sur ma poitrine comme l'aime Paul.
Nous déci dame de manger dans un restaurant sur le quai, installé à une table de l'autre côté de la route, nouveauté de cette année, quand deux hommes s’installèrent à la table d'accoté, alors qu'il y avait plein de place libre. La cinquantaine, la classe, assez grand, costaux avec un peu de ventre.
C'était deux allemands qui nous ont abordé pour nous demander la meilleure façon de manger des moules dans un restaurant.
De fil en aiguille, la discussion à durée tout le repas.
Franck et Thomas qui maîtrisaient fort bien le français, reluquaient ouvertement mes cuisses et mes seins, surtout que se salop de Paul m'avait fait ouvrir les cuisses et relevé peu a peu ma robe, par des coups répété sous la table avec son pied, pour que je m'exécute.
Avant de partir, une envie de pipi me prend, je me lève et vais au WC, je veux refermer la porte du cabinet, quand un pied apparaît et m'en empêche.
C'était Franck, qui rentre à l'intérieur, ferme la porte, me prend et me pose sur la cuvette, son pantalon était ouvert, il a alors sorti sa queue de son slip.
Je ne saurais expliquer pourquoi, même encore aujourd'hui mais, j'étais comme pétrifié, paralysé, subissant sans protesté, l'alcool ?.
Il a prise ma main, la posée sur son sexe, ma ouvert ma robe jusqu'en bas, libérant mes 2 gros seins, 100C, qu'il m'a aussitôt peloté, a constaté que je n'avais pas de culotte, m'a alors mis 2 doigts dans le vagin, tout en m'enfonçant sa queue dans ma bouche et ma dit : urine.
Drôle d'expérience, d'uriner avec des doigts enfoncé dans la chatte, mais agréable.
Une fois fini, il a essuyé ses doigt avec le papier et ma prise les deux seins.
Pendant ce temps, je continuais de le sucer du mieux que je pouvais, n'étant pas hyper doué.
Malgré tout au bout de 3 ou 4 minutes, j'ai eu la bouche rempli de sperme.
Il venait de se vider les couilles.
J'étais plutôt fière de moi, d'avoir sucé un inconnu dans des wc et à ma grande surprise, cela m'avait plus.
Franck en quelques secondes est sorti sans dire un mot et j'ai recraché sa semence dans la cuvette.
Je me suis rhabillé et je suis sorti les rejoindre le plus naturellement possible.
Franck discutait comme si de rien n'étais avec Paul et Thomas.
Thomas a alors proposé qu'on aille boire le café chez lui, dans son appartement boulevard John Kennedy, au bout du remblais.
Proposition aussitôt accepté par Paul.
J'ai fais signe, non de la tête à Paul, mais il persistait.
J'ai alors pris Paul a part :
« ils ne veulent pas payé un café, mais se payé en nature sur moi »
« je m'en doute, vu comment tu l'ai as allumé »
« N'inverse pas, c'est toi qui ma exhibé et tu veux qu'on y aille ? »
« oui »
« tu ne veux tout de même pas que je fasse l'amour avec ses 2 gros cochons »
« Si, pourquoi ? »
« je n'en ai pas envie et je ne suis pas ta chienne que tu fais baiser »
« oui, mais moi, j'en ai fortement envie, alors tu vas ouvrir les cuisses et tu vas leur vider les couilles jusqu'à la dernière goutte »
« salaud, je suis quoi pour toi, ta femme ou une pute juste bonne a baiser »
« ma chéri, ne discute pas c'est non négociable, cela fait trop longtemps, que je rêve de te voir prise par un autre homme devant moi, pour laisser échapper une si belle occasion »
« tu veux que je sois ta pute ? mais ne viens pas te plaindre si après je continu a être une salope sans ton consentement »( je n'en croyais pas un mot, mais je voulais le moucher, de plus l'envie de le faire commençait a monter dans mon bas ventre).
Si ça vous a plus, lisez la suite.........
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Ecrit par cando
Parue le 06 janvier 2016
